La Seine Musicale conclut son Festival Mozart Maximum avec un concert réunissant Mozart et ses contemporains viennois d'adoption, avec le baryton Benjamin Appl et Les Talens Lyriques de Christophe Rousset :

L'Opéra national du Capitole de Toulouse dirigé par Christophe Ghristi invite le public de sa saison prochaine à voyager vers de lointaines contrées lyriques et chorégraphiques, au fil de chefs-d'œuvre du répertoire :

L’Orchestre National Avignon-Provence propose un concert intitulé "Où voulez-vous aller ?" avec un programme en hommage au voyage à travers les continents et les heures, dirigé par Jean-François Heisser et porté par la mezzo-soprano Aude Extrémo :

La Monnaie de Bruxelles offre à son public un spectacle où la poésie prend naissance sur une scène minimaliste et millimétrée : Eugène Onéguine de Tchaïkovski d'après Pouchkine mis en scène par Laurent Pelly et dirigé par Alain Altinoglu.

Eric Zemmour (Reconquête !) est le quatrième et dernier candidat à avoir répondu à notre invitation à présenter son rapport à la culture et son programme pour le secteur. Il a souhaité répondre à nos questions et nous a sollicité pour préciser et personnaliser certaines d'entre elles :

La distribution vocale et la nouvelle mise en scène signée Stéphane Braunschweig d'Eugène Onéguine (Tchaïkovski) au Théâtre des Champs-Elysées signe l'alliance de la France et de la Russie, à l'image du travail de ce metteur en scène et de cet opéra :

"Mozart et Salieri", opéra en un acte de Rimski-Korsakov est donné en version de concert à l'Opéra de Toulon, s’ouvrant sous les auspices d’une œuvre testamentaire du compositeur autrichien : le Concerto pour piano n°27.

L'Opéra de Toulon annonce sa saison de reprise 2021/2022 avec des grands classiques du répertoire et des petites formes à explorer :

Pour sa saison 2020/2021, l'Opéra de Clermont-Ferrand célèbre la sortie du confinement en proposant sept opéras ayant pour point commun de mettre en musique la formidable aventure de la liberté. Temps fort très attendu, le récital de la star géorgienne Anita Rachvelishvili.

Le conte emblématique de Pouchkine mis en musique par Nikolaï Rimski-Korsakov referme la saison à La Monnaie de Bruxelles. Une beauté dérangeante de simplicité, mise en scène par Dmitri Tcherniakov, questionnant la violence des contes anciens et leur intemporalité.

L'Opéra-Théâtre auvergnat présente sa deuxième et dernière saison anniversaire, dédiée à la vie avec 6 opéras, 1 comédie musicale, 4 concerts, 1 récital Grande Voix, 2 spectacles jeune public, 1 exposition, 3 films et de nombreuses actions de médiation :

Eugène Onéguine de Tchaïkovski mis en scène par Alain Garichot poursuit son voyage dans l’hexagone et réunit, sous la baguette de la cheffe finlando-ukrainienne Dalia Stasevska, un plateau franco-slave d’exception.

La mezzo-soprano et le pianiste Joseph Breinl proposent un programme centré sur Rilke et Pouchkine, qui fait la part belle à l’anglais, l’allemand, au français et au russe.

Sous l’excellente direction de son chef Vladimir Spivakov, l’Orchestre national philharmonique de Russie fait sonner les plus belles pages d’Eugène Onéguine de Tchaïkovski, également brillamment interprétées par quatre solistes russes.

Pour clôturer sa saison 2017/2018, l’Opéra de Tours a choisi de présenter (en coproduction avec le Théâtre de Bienne-Soleuve en Suisse pour le second opus) deux ouvrages assez rares du répertoire russe : Mozart et Salieri de Nikolai Rimski-Korsakov et Iolanta de Piotr Tchaïkovski, une première représentation sur la scène tourangelle.

Bel Air Classiques publie Le Coq d'or de Nikolaï Rimski-Korsakov représenté à La Monnaie. Une captation haute définition qui permet d'apprécier les détails, sombres et lumineux, de la mise en scène signée Laurent Pelly, de l'orchestre, des chœurs et des solistes :

En même temps que cet endroit unique et son pianiste habituel, le public retrouve les qualités qui ont fait de Vannina Santoni l'une des voix en vue et une belle promesse. Elle propose ici un programme de mélodies composées par des musiciens nés entre 1860 et 1874, avec un rapide hommage à deux générations précédentes, une incursion dans le Lied et l'italien contemporain :

​Trois raretés, du bel canto, une comédie musicale, des concerts pour tous (dès 3 mois) : autant de raisons de faire un tour à l'Opéra de Tours en 2017/2018.

La première d’Eugène Onéguine, à l’Opéra de Nice, reprise d’une production d’Angers Nantes Opéra en 2015, elle même reprise de celle de l’Opéra National de Lorraine en 1997, offre à un public niçois, à nouveau conquis, le flux puissant d’un drame de l’intériorité avec toute la justesse psychologique souhaitée par Tchaïkovski.