Le Directeur du TCE Michel Franck présente la dernière saison de son mandat de 15 ans, avant de céder la place à Baptiste Charroing (déjà Directeur de production in loco). La programmation propose plusieurs clins d'œil, à son mandat, à son prédécesseur et à son successeur dans le cadre d'une saison qu'il a voulue, face aux contextes, "la plus rassurante possible" :

L'Académie de l'Opéra national de Paris ouvre sa saison à l'Amphithéâtre Bastille avec un concert très applaudi et mis en espace, permettant d'apprécier les évolutions avérées des "anciens" (ayant rejoint le programme l'année dernière) et de jauger les promesses des autres, encore brutes pour certains mais déjà accomplies pour d'autres :

Marseille annonce sa prochaine saison lyrique, bel cantiste et Grand Opéra, italienne mais aussi française et même russe :

La scène du désormais "Clermont Auvergne Opéra" (et non plus Centre lyrique Clermont-Auvergne) entame l'année avec une version particulièrement déjantée de L’Italienne à Alger. Déjantée et délocalisée, en l’occurrence, l’action s’y déroulant...en Amérique.

Jean-Christophe Spinosi, à la tête de l’Ensemble Matheus et du chœur de chambre Mélisme(s), rejoint par une fameuse équipe de solistes, dirige L’Italienne à Alger de Rossini au Théâtre des Champs-Élysées dans un enthousiasme communicatif.

La folie de la musique de Rossini balaye joyeusement cette production de l’Italienne à Alger, captée en 2018 au Festival de Salzbourg et retransmise au cinéma, portée par une mise en scène ingénieuse et le feu d’une distribution extra-ordinaire. 

L'Opéra-Théâtre auvergnat présente sa deuxième et dernière saison anniversaire, dédiée à la vie avec 6 opéras, 1 comédie musicale, 4 concerts, 1 récital Grande Voix, 2 spectacles jeune public, 1 exposition, 3 films et de nombreuses actions de médiation :

L’Opéra de Tours offre une nouvelle reprise à la production de L’Italienne à Alger imaginée par David Hermann, créée à Nancy en 2012.

Le Festival international d’opéra baroque et romantique de Beaune poursuit son Cycle Rossini avec la captivante Italienne à Alger, défendue avec enthousiasme par le chef Jean-Christophe Spinosi et un beau plateau vocal.

Abondance d’Italiennes ne nuit pas ! Après Paris et Nancy, Versailles accueille à son tour une Italienne rossinienne, dans un concert dirigé par Jean-Christophe Spinosi qui agit sur le public comme un véritable euphorisant !

L’Italienne à Alger qui clôt la saison de l’Opéra national de Lorraine reprend une mise en scène enjouée et déjantée de David Hermann montée en 2012 en ces lieux. Servi par une direction musicale brillante, le plateau vocal se révèle aussi un formidable plateau de comédiens.

Cette Italienne à Alger de Rossini présentée en version concertante au Théâtre des Champs-Élysées par les forces du Théâtre Communal de Bologne réunit d’éminents spécialistes du compositeur et de son style.

La maison varoise confie à la reprise heureuse de la mise en scène de Nicola Berloffa le soin de faire jubiler sur son théâtre, le dramma (si) giocoso de Rossini, avec un Mustafà, la basse Andrea Mastroni, plus bey que nature.