L’Opéra de Dijon présente la Passion selon Saint Jean de Bach dirigée par Leonardo García Alarcón avec son ensemble Cappella Mediterranea, dans une mise en scène de la chorégraphe Sasha Waltz :

Le Directeur du TCE Michel Franck présente la dernière saison de son mandat de 15 ans, avant de céder la place à Baptiste Charroing (déjà Directeur de production in loco). La programmation propose plusieurs clins d'œil, à son mandat, à son prédécesseur et à son successeur dans le cadre d'une saison qu'il a voulue, face aux contextes, "la plus rassurante possible" :

“Durée : environ 3 heures”. Voici ce qu’indiquaient les brochures de salle distribuées à l’entrée du Théâtre Raymond Devos de Tourcoing, pour présenter l'Orpheus de Telemann. Mais nul moment de longueur ni de langueur n'est visiblement ressenti par d'auditoire devant la main de maître de l’illustre René Jacobs, le B'Rock Orchestra et Vocal Consort :

La nouvelle saison musicale au Théâtre de Caen s'annonce sous le signe de l'opéra baroque et romantique, enrichi par des récitals et concerts, ainsi que du théâtre musical. Parmi les têtes d'affiches figurent Emmanuelle Haïm, Sébastien Daucé, Vincent Dumestre, Lucile Richardot, Cyrille Dubois et bien d'autres.

L’Opéra de Versailles convie dans l’écrin de sa Chapelle le chef Václav Luks et ses ensembles Collegium 1704 pour le chatoyant oratorio de Haendel, Israël en Egypte.

Romeo Castellucci met en scène "Il Primo Omicidio" (Le premier homicide, ou Cain), oratorio d'Alessandro Scarlatti -mort en 1725 mais qui fait ainsi ses débuts lyriques à l'Opéra de Paris, tout comme le célèbre chef baroque René Jacobs. Chaque personnage est doublé par un enfant : l'innocence rachète le péché originel et le premier crime de l'humanité.

Le Festival d’Ambronay invite le chef René Jacobs à diriger l’excellent Freiburger Barockorchester et quatre solistes d’exception pour l’oratorio Il Trionfo del Tempo e del Disinganno (Le Triomphe du Temps et de la Désillusion) de Haendel.

Chaque année à l'été, les meilleurs Festivals s'égrènent dans les plus somptueux paysages de France et d'Europe. Pour vous y repérer, nous vous avons préparé une sélection (classée par ordre chronologique).

Pierre Audi livre à l’Opéra de Rouen une version déchristianisée de la Passion selon Saint Jean, dont la modernité est mise en avant par trois compositions contemporaines signées Annelies van Parys et Samir Odeh-Tamimi.

Lors de ce quatrième épisode du cycle Bach en sept paroles, Raphaël Pichon, l’Ensemble Pygmalion et quatre solistes transportent le public dans les méditations du croyant entre châtiments et repentance, obscurité et lumière, brièveté et éternité.

« Châtiments », la quatrième étape du projet « Bach en sept paroles » de L’Ensemble Pygmalion rassemble le public autour de son exploration de l’expression des châtiments et de la repentance dans l’œuvre de Bach. La direction éclatante de Raphaël Pichon magnifie chaque instrument, les voix de Sabine Devieilhe, Benno Schachtner, Reinoud Van Mechelen, Peter Harvey et des chœurs unis dans une même componction.