Marc Minkowski et son ensemble Les Musiciens du Louvre interprètent Alcina de Haendel en version concert à la Philharmonie de Paris, une prise de rôle-défi pour Magdalena Kožená:

Dans la même veine que son approche épurée de la tragédie grecque de Sophocle, Antigone présentée au sein de la Cour d’Honneur du Palais des Papes lors du Festival d’Avignon 2017, le metteur en scène Satoshi Miyagi choisit de confronter les résonances de l’opera seria de Mozart "Idoménée, roi de Crète" à celles du Japon semi-moderne.

Venue du Corum de Montpellier, cette version concertante de Radamisto (Haendel) fait escale le temps d’une soirée mémorable au Théâtre des Champs-Elysées, avant d’entreprendre une tournée européenne qui la mènera ces prochains jours à Genève et Madrid après Barcelone.

Valérie Chevalier, Directrice générale de l’Opéra Orchestre national Montpellier Occitanie​, présente la saison 2021/2022 de son théâtre, en présence de Philippe Jaroussky, artiste en résidence :

L'incontournable Guide Ôlyrix estival recense les plus grands Festivals de musique classique et lyrique à travers l'Europe (par ordre chronologique) : de quoi célébrer la reprise culturelle cet été, où que vous viviez ou partiez en vacances

Le Théâtre des Champs-Elysées annonce sa saison 2021/2022, construite sur 6 thématiques, croisées et entremêlées : l’amour dans tous ses états lyriques, parfums français, une irrésistible envie de fête, pour les plus jeunes, l’incroyable voix des contre-ténors, et retenez leurs noms.

Le Syndicat Professionnel de la critique de théâtre, musique et danse récompense ses nouveaux lauréats dans les différentes catégories, l'occasion de constater combien une saison même raccourcie par des mouvements sociaux ou une pandémie reste riche :

"Once Upon Now" est le slogan de La Monnaie (Opéra de Bruxelles) pour une nouvelle saison, une nouvelle décennie, un nouveau programme qui nous permet de regarder vers l'avenir. "Il était une fois maintenant", bientôt en tout cas :

L'Opéra de Zürich verra une fois encore sa saison richement portée par de grands noms, marquée par des débuts, dans un répertoire riche et varié :

Tout est musique dans la mise en scène signée Laurent Pelly (créée au TCE, puis passée à Marseille, Luxembourg, Bordeaux et ici Tours) pour Le Barbier de Séville composé par Rossini : les décors sont des partitions, les interprètes en sont les notes de musiques vivantes et vibrantes.

Ercole Amante de Cavalli poursuit son triomphe à Versailles dans la foulée de l'Opéra Comique et dans la mise en scène-boîte à surprise musicale d'un mélodrame sophistiqué signé Valérie Lesort et Christian Hecq, dirigé par Raphaël Pichon :

Dans la lignée de leur délicieuse mise en scène du Domino Noir d’Auber en mars 2018 sur cette même scène, Valérie Lesort et Christian Hecq offrent un spectacle complet, réjouissant le public, basé sur le merveilleux et la surprise.

Il trionfo del tempo e del disinganno, oratorio de Georg Friedrich Haendel est interprété par l'Ensemble Les accents de Thibault Noally et quatre solistes vocaux allégoriques (Anna Bonitatibus, Rachel Redmond, Carlo Vistoli, Victor Sicard) au deuxième jour de la 4ème édition des Concerts d'Automne, dans le Grand Théâtre de Tours :

Le Festival Concerts d’Automne à Tours, ayant Natalie Dessay en marraine et Alessandro Di Profio en Directeur artistique, annonce sa quatrième édition, du 11 au 26 octobre 2019 : un voyage baroque et classique, germanique et italien.

La Clémence de Titus de Mozart s'offre à l'Opéra Royal de Wallonie, radicale et saugrenue sous la direction musicale de Thomas Rösner dans la nouvelle mise en scène du duo Cécile Roussat et Julien Lubek.

1770-2020 : Château de Versailles Spectacles fête les 250 ans de l’Opéra Royal avec pas moins de 10 opéras mis en scène, 10 opéras en version de concert, et des dizaines de soirées avec des artistes renommés. Tous les détails lyriques :

Verdi (par trois fois), Cimarosa, Puccini, Rossini, Donizetti, Bellini, tout sera italien à l'Opéra de Liège, même l'opéra de Mozart... Tout ? Enfin presque, le compositeur gaulois Gounod fera figure d'exception, mais pour un Faust mis en scène par un italien et coproduit par Turin :

Anna Bonitatibus allie deux grandes qualités, rarement conciliées : la largesse lyrique d'une voix placée qui n'empêche nullement son agilité. Une combinaison gagnante pour cet album rendant hommage à la tradition des airs "en travesti", de jeunes hommes aux caractères agiles et passionnés chantés par une tessiture féminine.

Grande amoureuse du compositeur, Anna Bonitatibus consacre son travail à la revalorisation des envoûtants et facétieux cent cinquante Péchés de vieillesse qui pèsent sur la conscience de Rossini, commis entre 1857 et 1868.

Après deux années de travaux, l'Opéra de Bruxelles retrouve son Théâtre Royal de La Monnaie restauré. Au programme : sept opéras mis en scène (deux par Olivier Py), 2 versions de concert et de riches récitals.