La Monnaie de Bruxelles axe le programme de sa prochaine saison sur le thème de la fatalité, invitant justement à admirer comment les héros des opéras affrontent leur destin (une manière assurément aussi d’inviter le monde de la culture et cet art lui-même à en faire autant) :

La maison-mère lyrique bruxelloise invite son public à se reconnecter avec la beauté des chants de Noël par la jeunesse vocale, en pleine période de l’avent.

Vingt-deux années après sa création à l'Opéra de Copenhague, la version lyrique composée par Poul Ruders de “The Handmaid's Tale” écrit par Margaret Atwood revient à l'Opéra de Copenhague dans une production signée par l'ancien Directeur de la maison, John Fulljames et présentée devant la reine du Danemark, Margrethe II.

Le Grand Opéra de Giacomo Meyerbeer vient conclure en apogée la saison 2021-2022 à La Monnaie de Bruxelles grâce à la mise en scène Barocco-Anthracite d’Olivier Py, de cœur avec les chorégraphies de Daniel Izzo (qui assure la reprise de cette production) et sous la direction musicale d'Evelino Pidò.

Sur les fauteuils de velours rouges de la maison-mère s’agitent les enfants de La Monnaie à l’occasion d’un programme bien spécial autour de La Flûte enchantée (en 1h un dimanche matin) avec le narrateur-présentateur néerlandais Filip Jordens, ainsi que quatre solistes de l'Académie maison

La Monnaie de Bruxelles a eu le Nez creux pour ne pas se casser Le Nez (nom de l'opéra de Chostakovitch figurant au programme de cette prochaine saison très russe) :

L’Opéra Royal de Wallonie-Liège affiche 10 représentations (dont la dernière au Palais des Beaux-Arts de Charleroi le 18 mars) du Rigoletto de Verdi dans la mise en scène de John Turturro, avec en alternance deux titulaires pour chacun des trois rôles principaux.

Cette production marquant les débuts de metteur en scène d’opéra de John Turturro, créée au Théâtre Massimo de Palerme en 2018, est accueillie par l'Opéra Royal de Wallonie Liège (son co-producteur avec le Teatro Regio de Turin et l’Opéra de Shaanxi en Chine) :

La Carmen de Bizet mise en scène par Barrie Kosky vient à Copenhague pour raconter l’histoire selon le point de vue de l’héroïne-titre ("herstory" contre history), incarnée par Michèle Losier. Un événement plein de surprises, musicales comme théâtrales, sous le bâton d’Alexander Vedernikov.