Message de paix, d’espoir et de tolérance dans un cadre universel et intemporel, auquel la situation politique du moment donne forcément quelque résonance. Le public messin aura goûté la musique raffinée du compositeur italien Cristian Carrara, ainsi que la réalisation scénique et musicale toute en sobriété.

Œuvre rarement jouée, Mireille de Gounod est défendue par le Directeur de l’Opéra de Metz, Paul-Émile Fourny dans une mise en scène onirique.

Troisième série de représentations dans la mise en scène signée Paul-Émile Fourny ​du célèbre opéra de Bizet, transposé dans l’univers des séries policières, accompagné de l’Orchestre de l’Opéra de Massy.

L’Opéra rémois rouvre ses portes en septembre, avec au menu plusieurs reprogrammations et la célébration de deux 400èmes anniversaires de deux Figures absolues de la culture française, nées à un an d'intervalle : La Fontaine et Molière

Après deux saisons bouleversées par la crise sanitaire, le public de l’Opéra de Massy pourra profiter d’une saison de reprise avec un nombre inédit de 60 levers de rideau dans la salle fraîchement rénovée, et plusieurs œuvres autour de Molière pour ses 400 ans :

L'Opéra de Reims annonce sa prochaine saison lyrique à commencer par l'opérette d'Offenbach "Monsieur Choufleuri restera chez lui" (en espérant qu'il soit le seul).

La mise en scène de Paul-Émile Fourny revoie le classique opus et donne l’occasion à Mireille Lebel d’incarner une Carmen électrisante sans verser dans la vulgarité. Les airs célébrissimes et envoûtants sont servis par l’Orchestre national de Metz sous la direction de José Miguel Pérez-Sierra :

L'Opéra-Théâtre de Metz Métropole propose une saison 2018/2019 marquée par les grandes figures lyriques des drames amoureux : Faust, Roméo et Juliette, Tosca, Orphée et Eurydice, Carmen mais aussi Guy et Geneviève (Les Parapluies de Cherbourg) :

L’état de Lucia, forcément second, presque surnaturel, ne peut qu’être placé dans la bouche d’une soprano à la fois colorature et d’exception : la cantatrice turque Serenad Uyar. La direction exactement sensible de Francesco Lanzillotta parvient à maintenir la cohésion d’un dispositif scénique et musical travaillé par le déséquilibre.