Le Directeur de l'Opéra de Rouen dresse le bilan de ses premières années de mandat et se projette sur une saison 2022/2023 traversant cinq siècles de musique entre productions iconiques et prises de rôles :

La Maison de la Radio met à l'honneur la Pologne avec trois solistes, trois compositeurs, trois œuvres et un chef d'orchestre. Les hôtes du lieu, le Chœur et l'Orchestre Philharmonique de Radio France dirigés par Krzysztof Urbanski interprètent les œuvres de Penderecki, Lutoslawski et Szymanowski :

Grâce à la diffusion de ses propres concerts, au statut et à l'engagement de ses musiciens maison, Radio France a pu maintenir de nombreux rendez-vous artistiques la saison dernière, et programme donc peu de report pour une saison prochaine de nouveau en public et sur les ondes :

Toujours occupée à faire taire le silence, La Monnaie de Bruxelles poursuit son mois de février purement Mozartien en streaming en venant bousculer un peu de notre vie (sûrement trop) calme avec une décapante « comédie en musique ».

L'Opéra de Rouen ne renonce pas à La Clémence de Titus (dernier opéra de Mozart), transformant la production scénique en un concert diffusé gratuitement et en un enregistrement intégral de l'opéra à paraître chez Alpha Classics.

L'Opéra de Rouen Normandie continue de faire vibrer la musique vivante durant le re-confinement et donne rendez-vous en ligne chaque vendredi soir -puis à revoir durant la semaine- pour une série de concerts inédits :

Ludwig van Beethoven est évidemment à l’honneur en cette année qui commémore ses 250 ans. À la tête de l’Orchestre National de France et du Chœur de Radio France, le chef Václav Luks présente au public de l’Auditorium de Radio France des œuvres de jeunesse du compositeur viennois, méconnues et encore classiques mais déjà empreintes de puissance lyrique.

L'Opéra de Rouen annonce deux concerts surprises en juin et une nouvelle saison prochaine au riche programme lyrique : bel canto italien, romantisme et classicisme allemand, légèreté et drame français.

Le dernier épisode de la trilogie sulfureuse Mozart-da Ponte offerte par La Monnaie de Bruxelles dans une nouvelle production sonne le glas d’un anti-héros ou la chute d’un homme dissout par ses propres désirs.

À mi-chemin des actualités qui bouleversent notre époque, à mi-temps des mœurs de Beaumarchais, La Monnaie, opéra de Bruxelles, est fière de présenter une nouvelle triple production mise en scène par Clarac & Deloeuil, avec un "je-ne-sais-quoi Révolutionnaire", signature maison. Les Noces de Figaro (avant Cosi fan Tutte et Don Giovanni) s’imprègnent d’une odeur de scandale :

Pour la saison qui inaugure son troisième mandat de Directeur à La Monnaie, l'opéra de Bruxelles, Peter de Caluwe annonce une "nouvelle architecture de saison" avec un nombre record de productions (11 opus lyriques).