Le "Fonds de Dotation Tutti pour le rayonnement de l’opéra et le soutien aux artistes lyriques en début de carrière" (en particulier ceux qui n'ont pas encore d'agent) poursuit dans sa lancée avec la 2ème édition de son programme tremplin. Les cinq jeunes artistes sélectionnés sont ainsi à l'honneur d'un concert de Gala à l'Athénée avec leurs mentors, à l'issue de cours privés et de masterclasses publiques.

La Salle Favart rend hommage au compositeur Maurice Ravel avec les artistes de l'Académie de l’Opéra Comique, accompagnés par l’Orchestre de chambre de Paris, Héloïse Bertrand-Oléari est au piano, le tout sous la baguette du Directeur des lieux, Louis Langrée.

Sous la direction musicale de son Directeur Louis Langrée, l’Opéra Comique présente en diptyque "Pulcinella" d’Igor Stravinsky et "L’Heure espagnole" de Maurice Ravel, dans une mise en scène de Guillaume Gallienne :

Les huit jeunes artistes classiques repérés et soutenus cette année par l’Adami (Société civile pour l'Administration des Droits des Artistes et Musiciens Interprètes) montrent leurs talents lors d’une soirée conviviale au Bal Blomet à Paris.

L’Arcal présente à l’Athénée une redécouverte de l’Orfeo composé par Antonio Sartorio, sous la direction de Philippe Jaroussky et dans la mise en scène de Benjamin Lazar : une version du mythe bien différente de celle proposée par Monteverdi ou Gluck.

Les jeunes artistes de la nouvelle Académie de l’Opéra Comique se prêtent aux jeux subtils et piquants d’un programme musical autour de l’Amour à la Française.

Le Festival du Haut Limousin ouvre sa 25ème édition à la Ferme de Villefavard avec sa ​désormais traditionnelle soirée des talents, promouvant huit jeunes (chanteurs et instrumentistes) soutenus par l’Adami. Une soirée au programme éclectique qui ne manque pas d’émerveiller le public devant ces artistes prometteurs.

L’Opéra bouffe d’Offenbach, version Laurent Pelly, illumine l’entre-deux fêtes toulonnaise, avec panache et fantaisie, sous la baguette enchantée de Laurent Campellone (dans cette vaste co-production avec le Théâtre des Champs-Élysées, Liège, Berne, Dijon et le Palazzetto Bru Zane pour la version en trois actes de 1874, et sur des dialogues adaptés d’Agathe Mélinand).

La Chapelle Royale du Château de Versailles fait revivre le retour de Louis XV avec la Cour au son de la musique de son glorieux passé, portée par les musiciens de demain :