Le Barbier de Séville fait partie des opéras qui reviennent très régulièrement à Bastille. La production de Coline Serreau y avait ainsi battu des records : créée en avril 2002 elle est reprise dès le mois de juin la même année, puis en 2003, 2004, 2008, 2009, 2010, 2012 (parfois pour 15 représentations).

Elle est remplacée par la mise en scène de Damiano Michieletto en 2014 (encore une fois avec pas moins de 14 représentations) qui revient ensuite tous les deux ans : 2016, 2018 et donc 2020 pour 12 dates portées par Xabier Anduaga, Carlo Lepore, Lisette Oropesa, Florian Sempey & Ilya Kutyukhin, Krzysztof Bączyk, Tommaso Barea, Marion Lebègue et Bernard Arrieta

Christophe Ghristi, alors Directeur de la dramaturgie à l'Opéra de Paris (désormais directeur du Capitole à Toulouse), nous présente cette mise en scène à l'occasion de son entrée in loco :

Cette production fut notamment l'occasion de découvrir à Paris celle qui est désormais une star (à l'affiche de la nouvelle Traviata et de la nouvelle Manon maison) : la soprano sud-africaine Pretty Yende qui interprète dans cette vidéo la deuxième partie de l'air "Una voce poco fa".

A Séville, la jeune et belle Rosina, pupille du docteur Bartolo, invite le Comte Almaviva à se présenter à elle, ce qu’il fait dans une sérénade, en prétendant être pauvre et amoureux. Sous le charme, elle chante son amour pour lui, et sa détermination à échapper à son tuteur.

Comme pour tous les opéras, retrouvez l'histoire, l'analyse et les personnages sur la page dédiée à cet opus avec également les comptes-rendus des autres versions et concerts, des photos, vidéos...

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