Deux jours avant le concert du Chœur d’hommes de Sartène (en sextuor) fondé en 1995 Jean-Paul Poletti, et en la même Église Saint-Georges de Vivonne, le Concours de chant couronnait de ses premiers prix le baryton Andoni Etcharren et la soprano Anaïs Merlin (également récompensée la semaine précédente au 10ème Concours Enesco à Paris, et appréciée sur nos colonnes à Vichy).

Le contre-ténor Pierre Lenoir réalise pour sa part un triplé : Prix du public, Prix d’interprétation et Prix jeune espoir ex-aequo avec Aviva Manenti qui décroche pour sa part le Prix de la mélodie, aussi (elle qui s'est faite remarquer sur nos pages dans un répertoire international grâce au CALM-Centre d'Art Lyrique de la Méditerranée).

Comme de coutume, les 9 finalistes retenus (sur 29 demi-finalistes entendus en début de semaine) ont bénéficié de master-classes, prodiguées par Cynthia Jacoby, Elena Gabouri, Henry Runey, Joël Heuillon (ces deux derniers sont par ailleurs contributeurs d'Ôlyrix), ainsi qu'une "table ronde sur le métier de chanteur lyrique aujourd’hui par Giovanni Iovino" et trois "séances de coaching individuel par candidat avec des membres du jury" (ce jury réunissant également le pianiste Antoine Metelin et le ténor Yves Vandenbussche).