L’Opéra royal de Suède à Stockholm vient de nommer Fredrik Lindgren comme Président Directeur Général. Il succédera à Birgitta Svendén en juin 2022 :

La seconde vague de Coronavirus frappe violemment le monde et les théâtres en Europe ne sont pas épargnés. Liste des fermetures, avec les couvre-feux et confinements supplémentaires le cas échéant :

Rendez-vous ce 21 juin à 19h pour une fête de la musique en OperaVision : une soirée Gala portée par de grandes voix lyriques depuis les institutions musicales de 8 grandes villes à travers l'Europe !

La chanteuse Randi Stene succède à la metteuse en scène Annilese Miskimmon à la tête de l'Opéra de Norvège, qui devient la troisième maison nordique majeure à confier sa direction artistiques à une interprète du rôle de Fricka :

Alan Gilbert se dit impatient de commencer son mandat au printemps 2021. Il combinera cette direction avec son poste de Chef principal à l’Orchestre Symphonique de la Radio de l'Allemagne du Nord à Hambourg, qu'il dirige depuis l'automne 2019, après huit ans comme Directeur musical du New York Philharmonic :

Dracula, opéra créé en 2017 par Victoria Borisova-Ollas profite au maximum du grand spectacle façonné par Linus Fellbom pour l’Opéra Royal de Stockholm.

Pour la saison lyrique 2019-2020, l’Opéra d’Oslo propose une programmation qui se distingue par sa confiance dans les classiques du répertoire lyrique.

Les trois grandes maisons d’opéra en Suède –Stockholm, Göteborg et Malmö– viennent d’annoncer leurs programmations pour la saison à venir. Dans son ensemble, 2019-2020 réserve au public suédois des comédies musicales (au sens large), des tragédies classiques ainsi que des offrandes rares.

La création suédoise du Roi Roger de Karol Szymanowski dans la mise en scène de Mariusz Treliński invite les Stockholmois à suivre les pas du personnage-titre dans sa vaine quête de certitude dans un monde de symboles en transition de noir en blanc. Andrea Molino assure la dramaturgie musicale, qui est complétée par les prestations de Lukasz Goliński, Elin Rombo et Arnold Rutkowski.

L’Opéra Royal de Suède reprend la mise en scène signée Johanna Garpe des Dialogues des Carmélites : un regard épuré sur l’œuvre et son importance contemporaine, sous la direction musicale de Marc Soustrot, qui met en valeur les contrastes de la forme musicale.

À l’Opéra Royal de Suède, Johanna Garpe examine les problématiques de la masculinité dans sa mise en scène de Carmen. De nouvelles facettes de l’opéra et de ses personnages sont révélées sous la baguette de Joana Carneiro par Daniel Johansson (Don José), Miriam Treichl (Carmen) et Magdalena Risberg (Micaëla).

À Stockholm, Sofia Jupither monte un Rigoletto travaillé, qui profite de la confiance verdienne du chef d’orchestre Lionel Bringuier ainsi que de Karl-Magnus Fredriksson et Ida Falk Winland dans les rôles de père et fille.

Le nouvel opéra Tristessa sur un livret en anglais (Torbjörn Elensky) d’après le roman culte La Passion de l’Ève nouvelle d’Angela Carter séduit par sa force visuelle (Ann-Sofi Sidén) et sa musique aimable (Jonas S. Bohlin) :

À Stockholm, le Prix Birgit Nilsson 2018 récompense Nina Stemme, extraordinaire interprète du répertoire wagnérien et straussien. Christina Nilsson et Bryn Terfel sont engagés pour rendre hommage à cette soprano d’exception.

Pour rendre hommage à Birgit Nilsson, les opéras suédois proposent non pas seulement un, mais deux concerts de gala : le premier à Göteborg le 17 mai 2018 (date du centenaire de la soprano), le second juste deux jours après à Stockholm. Deux événements diffusés, le premier par la télévision et la radio suédoises, le second par la plate-forme OperaVision.

La soprano suédoise s'est vu attribuer le prestigieux Prix Birgit Nilsson 2018, suivant ainsi les pas de Placido Domingo (2009) et de Riccardo Muti (2011).

Le nouvel Eugène Onéguine mis en scène par Vasily Barkhatov à Stockholm dépasse une simple étude de mœurs et peint finement le conflit entre la ville et la campagne, entre dégradation et ascension sociale. La direction d’Evan Rogister reste attentive aux besoins des chanteurs, notamment Cornelia Beskow, Karl-Magnus Fredriksson, et Joel Annmo.

Le retour d'Aïda après 20 ans d'absence à l'Opéra de Stockholm devient un événement triomphal. Une mise en scène mécanique par Michael Cavanagh et la machine orchestrale de Pier Giorgio Morandi pavent la voie pour la jeune soprano Christina Nilsson :