Sandrine Anglade propose avec sa compagnie une transposition musicale et théâtrale de la Carmen de Georges Bizet en hommage à ce compositeur et à un ouvrage lyrique qu’elle affectionne entre tous. La troupe fait escale pour une soirée de sa tournée au Théâtre du Centre des Bords de Marne du Perreux-sur-Marne en région parisienne.

L'Opéra Royal de Versailles propose Didon et Énée de Purcell avec Les Arts Florissants de William Christie dans une mise en scène et chorégraphie de Blanca Li avec sa compagnie : un spectacle entièrement dansé, glissé sur une scène recouverte d'une pellicule aquatique.

La compagnie de Théâtre lyrique Arcal reprend Didon et Énée de Purcell à l’Opéra Grand Avignon, dans la mise en scène de Benoît Bénichou et avec l’Ensemble Diderot sous la baguette de Johannes Pramsohler.

L’Opéra rémois rouvre ses portes en septembre, avec au menu plusieurs reprogrammations et la célébration de deux 400èmes anniversaires de deux Figures absolues de la culture française, nées à un an d'intervalle : La Fontaine et Molière

L'Opéra de Reims annonce sa prochaine saison lyrique à commencer par l'opérette d'Offenbach "Monsieur Choufleuri restera chez lui" (en espérant qu'il soit le seul).

Sandrine Anglade met en scène La Ville morte de Korngold à l’Opéra de Limoges. Un spectacle saisissant, de bout en bout :

Entre théâtre et opéra, entre une reprise du Cid de Corneille et La Ville morte de Korngold, la metteuse en scène Sandrine Anglade nous raconte son travail, son engagement pédagogique :

Les célèbres et les talentueux compositeurs côtoieront les grands dramaturges (Shakespeare, Molière, Beaumarchais, Goethe, Racine) dans une saison Limougeaude très dramatique :

Les spectateurs de l’Opéra de Massy assistent impuissants au drame de Didon. Portée par une mise en scène intériorisée, subtile et poétique, un jeu lumineux d’une qualité rare, une scénographie intelligente, la soprano Chantal Santon-Jeffery incarne à la perfection la Reine de Carthage.

L’Arcal, Compagnie nationale de théâtre lyrique et musical, recrée Chimène ou le Cid de Sacchini, opéra n’ayant rien à envier aux bons opus de Gluck et porté ici par une Agnieszka Slawinska à suivre avec attention !

Mettant en avant les artistes de l’Académie de l’Opéra de Paris, l’Orfeo de Monteverdi mis en scène par Julie Berès est l’occasion de découvrir de jeunes artistes au grand talent.