Pour sa 34ème édition, le Festival de l’Opérette fait peau neuve : rebaptisé Festival Lyrique d’Aix-les-Bains, c’est une des œuvres les plus connues d’Offenbach qui clôt cette semaine festive, "La Belle Hélène" mise en scène par Jean-François Vinciguerra au Théâtre du Casino Grand​ Cercle.

L’incontournable Carmen de Bizet revient à l’Opéra de Marseille avec une deuxième distribution, dans une mise en scène de Jean-Louis Grinda, apportant un éclairage subtil :

L’Opéra de Marseille accueille la mise en scène par Jean-Louis Grinda du chef d’œuvre de Bizet, dix ans après la dernière production, en attendant sa reprise aux Chorégies d’Orange cet été.

L’Odéon de Marseille reprend La Périchole, opéra-bouffe d’Offenbach, dans la version en deux actes de 1868, mise en scène avec faste et humour par Olivier Lepelletier, récemment invité in loco pour La Vie Parisienne et La Veuve Joyeuse.

Pour clore l'année lyrique 2022 qui l'aura vu retrouver pleinement son public après deux années tourmentées, l'Opéra de Saint-Etienne programme une production maison de La Veuve Joyeuse qui fait valser les cœurs, charme les oreilles, et qui fait beaucoup rire aussi.

Eric Blanc de la Naulte, Directeur de l’Opéra de Saint-Etienne, présente avec simplicité une saison foisonnante et éclectique, poursuivant le travail de redécouverte qui est l’une de ses signatures :

L’Odéon de Marseille reprend La Veuve joyeuse (1905), opérette viennoise de Franz Lehár, dans la mise en scène d’Olivier Lepelletier :

Marie-Nicole Lemieux marque de sa personnalité artistique flamboyante sa prise de rôle scénique de Carmen dans une version intense et plutôt traditionnelle :

Les Soirées lyriques de Sanxay dans la Vienne reprennent en trombe leur Festival proposant les chefs-d'œuvre de l'opéra dans les ruines d'un théâtre gallo-romain, mais les antiques combats d'hommes et d'animaux ont visiblement laissé place cette année à ceux du chef avec les musiciens :

Le Théâtre du Capitole à Toulouse annonce sa saison 2021/2022 mettant en scène "la beauté et la noirceur du monde, la joie de vivre, la folie humaine et le miracle de l’amour, la méchanceté et la compassion, le rire salvateur et les larmes libératrices" :

L'Opéra de Marseille annonce sa nouvelle saison sous le signe de Jacques Offenbach avec huit de ses œuvres au menu. La programmation sera rythmée par six opéras mis en scène, deux en version de concert, ainsi que dix opérettes, avec Laurent Pelly, Cyril Dubois, Ermonela Jaho, Marie-Ange Todorovitch et bien d'autres :

La célèbre partition inachevée de Puccini embrase la maison d’opéra marseillaise par son esthétisme visuel (Charles Roubaud), sa précision instrumentale (Roberto Rizzi Brignoli) et sa ferveur lyrique (Antonello Palombi).

La Veuve joyeuse, fameuse et fantasque opérette viennoise de Franz Lehár est reprise en français à l’Odéon de Marseille dans la mise en scène festive et indéniablement parisienne d’Olivier Lepelletier (Régisseur général au Moulin Rouge) :

Ôlyrix vous propose une sélection des productions marquantes de la saison 2017/2018 en régions parmi les 750 comptes-rendus rédigés cette année par l'équipe de rédaction :

L'Opéra de Marseille annonce sa programmation pour la saison 2018/2019 : huit classiques du répertoire, qui brillent par leurs distributions vocales.

Avec Clémentine Margaine dans le rôle de Carmen, le Capitole de Toulouse présente une version particulièrement sensuelle, mais aussi lourde et noire de l’opéra de Bizet :

Fort de sa tradition d’opérettes, l’Odéon de Marseille offre une nouvelle production du célèbre opéra-bouffe La Vie parisienne d’Offenbach, dans une mise en scène simple et efficace signée Nadine Duffaut, sous la direction d’Emmanuel Trenque.

Fidèle à son répertoire, l'Odéon de Marseille proposera huit productions d'opérettes pour la saison 2017/2018. Si le maître du genre Offenbach est au programme, d'autres compositeurs moins connus sont aussi à l'affiche.

L’Opéra de Marseille clôt la saison des opérettes avec une Chauve-Souris de Johann Strauss fils mise en scène par Jean-Louis Grinda dans un grand souci du détail, jusqu’aux saluts finaux lors desquels le public applaudit à la fois la scénographie et le plateau vocal.