L’Opéra de Massy accueille la production de La sonnambula de Bellini par la metteuse en scène Francesca Lattuada. Une plongée onirique qui met en lumière la virtuosité des voix.

Château de Versailles Spectacles reprend La Finta Pazza de Francesco Sacrati (premier opéra joué en France) dans la mise en scène poétique de Jean-Yves Ruf avec Mariana Flores et Filippo Mineccia, accompagnés par La Cappella Mediterranea sous la direction de Leonardo García Alarcón :

L’Opéra Grand Avignon présente à son tour et avec ses phalanges maison "La sonnambula" de Vincenzo Bellini dans la mise en scène de Francesca Lattuada, sous la baguette de Beatrice Venezi et avec les lauréats du Concours lyrique de Clermont-Ferrand :

Pour lancer son année lyrique, l'opéra thermal propose La Somnambule de Bellini, stimulant les sens entre mise en scène à l’esthétique soignée et talents des jeunes solistes : le public ne boude visiblement pas son plaisir.

Clermont Auvergne Opéra présente une nouvelle production de La Somnambule de Bellini par Francesca Lattuada, dirigée par Beatrice Venezi, et principalement chantée par les lauréats du dernier Concours international de chant de Clermont-Ferrand.

La page de son festival d’été fraîchement tournée, l'Opéra de Vichy se tourne désormais vers sa prochaine saison qui débutera fin septembre. De nombreuses dates lyriques y figurent, qui feront la part belle à l’art du beau chant.

Sébastien Daucé recrée pour le Théâtre des Champs-Elysées Le Ballet royal de la nuit, porté par une production riche et technique. En jouant sur les codes, le spectacle mêle esprit circassien et fantasmagorie, pour offrir un divertissement à l’image de celui qu’il était en 1653, loin des masques, si ce n’est ceux du bal.

La maison nancéenne fait de la Nuit Transfigurée son credo, se débarrassant de l’obscurité qui s’est abattue ces derniers mois et dévoilant une nouvelle saison qui fait le grand écart entre cinq siècles de création.

L'Opéra et la Chapelle Royale de Versailles annoncent une nouvelle saison riche en reprises avec des productions appréciées ici et ailleurs, ainsi que le retour d'artistes renommés habitués des lieux mais également les débuts du contre-ténor Philippe Jaroussky en chef d'orchestre.

Après une création dijonnaise saluée, la fureur enjouée de La Finta Pazza investit l’Opéra Royal de Versailles, sous la direction de Leonardo García Alarcón et dans une mise en scène de Jean-Yves Ruf.

1770-2020 : Château de Versailles Spectacles fête les 250 ans de l’Opéra Royal avec pas moins de 10 opéras mis en scène, 10 opéras en version de concert, et des dizaines de soirées avec des artistes renommés. Tous les détails lyriques :

L’Opéra de Dijon redonne vie à La Finta Pazza, opéra de Francesco Sacrati (1605-1650) créé à Venise en janvier 1641 au Teatro Novissimo :

Reprise rouennaise couronnée de succès du très beau spectacle proposé par Jean-Yves Ruf à Dijon il y a deux ans. Et si l’on sortait Cherubini du purgatoire dans lequel il sommeille depuis trop longtemps ?

L'Ensemble Correspondances, Chœur et Orchestre ​de Sébastien Daucé réimagine le Ballet Royal de la nuit, œuvre légendaire à la gloire de Louis XIV, dans laquelle il dansa lui-même en Apollon​ le 23 février 1653 à l'âge de 15 ans et qui consacra l'expression de "Roi Soleil". Tout est spectaculaire dans cette production, aussi bien dans la fosse que sur la scène (mais pour des raisons très différentes).

C’est un projet titanesque ayant nécessité deux mois de répétition sur la scène du Théâtre de Caen. Ce Ballet royal de la nuit du duo Sebastien Daucé-Francesca Lattuada restera comme l'une des plus belles productions de l’année.