L’Opéra de Tours présente à son tour -après l’Opéra Grand Avignon- le diptyque ravélien réunissant les deux seuls opéras du compositeur : L’Heure Espagnole & L’Enfant et les Sortilèges dans une mise en scène de Jean-Louis Grinda et sous la baguette de Robert Tuohy.

L’Opéra Grand Avignon réunit en diptyque les deux opéras de Ravel : L’Heure espagnole & L’Enfant et les Sortilèges, mis en scène par Jean-Louis Grinda. Deux visions, défendues par une distribution affirmée, soulignent subtilement la minutie du compositeur, héritée de l’horlogerie.

L’unique date d’opéra (in extenso) de cette année aux Chorégies d’Orange permet de réentendre Marie-Nicole Lemieux et Jean-François Borras dans les rôles principaux.

La nouvelle Directrice de l’Opéra monégasque, Cecilia Bartoli reprend la mise en scène de La Traviata (Verdi) signée par son prédécesseur Jean-Louis Grinda (assisté par Vanessa d'Ayral de Sérignac) et incarnée par Aida Garifullina :

L’incontournable Carmen de Bizet revient à l’Opéra de Marseille avec une deuxième distribution, dans une mise en scène de Jean-Louis Grinda, apportant un éclairage subtil :

L’Opéra de Marseille accueille la mise en scène par Jean-Louis Grinda du chef d’œuvre de Bizet, dix ans après la dernière production, en attendant sa reprise aux Chorégies d’Orange cet été.

Cette nouvelle production de La Damnation de Faust d’Hector Berlioz apparaît comme la dernière mise en scène réglée par Jean-Louis Grinda à l’Opéra de Monte-Carlo durant son mandat de directeur (il transmettra son fauteuil directorial à Cecilia Bartoli en cette fin d'année).

Pour terminer en beauté sa riche saison lyrique, l’Opéra de Saint-Etienne suscite une large adhésion avec La Traviata de Verdi, par ses aspects scéniques (décors et costumes maison) autant que vocaux :

Chef principal de l'Opéra de Saint-Etienne, Giuseppe Grazioli nous présente, avec ses fonctions, la richesse des activités, des missions et des projets de cette maison :

Michel Plasson effectue à l’âge vénérable de 88 ans ses débuts au pupitre de l’Opéra de Tours pour une reprise de Thaïs, opéra de Jules Massenet dans la production monégasque signée par les soins de Jean-Louis Grinda :

Après des mois de silence, la saison 2021-2022 de la maison stéphanoise proposera pas moins de 168 levées de rideau entre les reprogrammations et les nouvelles productions, et cinq opéras « Made in Opéra de Saint-Étienne », qui feront la part belle au répertoire et à la création français :

Absent de la scène monégasque depuis plusieurs décennies, Thaïs de Jules Massenet renaît à l’Opéra de Monte-Carlo dans une interprétation vocale et musicale qui fera indéniablement date. Signée par les soins vigilants de Jean-Louis Grinda et de ses équipes artistiques, cette nouvelle production est coproduite avec l’Opéra de Hong Kong.

L’Opéra de Monte-Carlo inaugure l’année 2020 par une nouvelle production mise hautement en scène par Jean-Louis Grinda, en coproduction avec l'Opéra royal de Mascate (Sultanat d’Oman).

Les Chorégies d'Orange célébreront en 2020 les 10 ans de Musiques en fête, Samson et Dalila avec Roberto Alagna, Marie-Nicole Lemieux et Ludovic Tézier, La Force du destin de Verdi, Cecilia Bartoli en récital, des concerts symphoniques et chorégraphiques ainsi que des révélations musicales :

Jean-Louis Grinda, Directeur des Chorégies d'Orange et de l'Opéra de Monte-Carlo nous présente son travail et sa vision avec sincérité et engagement :

Les Chorégies d’Orange fêtent leurs 150 ans avec cet ouvrage immensément ambitieux, une gageure, notamment par rapport à une large majorité du public des Chorégies plus habitué aux titres phares du répertoire lyrique, mais plus de 6.000 spectateurs présents font un accueil vibrant à la mesure de l’événement.

Pour leur 150ème anniversaire, les Chorégies d'Orange programmeront en 2019 Guillaume Tell de Rossini pour la première fois, et Don Giovanni qui n'y avait plus été donné depuis 1996.

L’Oratorio lyrique de Camille Saint-Saëns, ce grand amoureux du Rocher, célèbre avec grandeur la fête nationale monégasque. L’envoûtante Dalila d’Anita Rachvelishvili y chante son Cantique des cantiques.

L'Opéra de Monte-Carlo propose une nouvelle fois un programme lyrique riche en grands noms venus du monde entier, faisant littéralement se rencontrer des artistes et des traditions de l'autre bout du monde :

Un duo incandescent pour Adriana Lecouvreur à Monte-Carlo : Barbara Frittoli et Roberto Alagna dans une production dédiée à une autre tragédienne de légende, Sarah Bernhardt.