L’Opéra de Paris propose une soirée Ravel à Garnier, mettant en scène ses jeunes pousses chorégraphiques dans Ma Mère l’Oye et lyriques dans L’Enfant et les Sortilèges, sous la direction de Patrick Lange.

L’Opéra national de Paris remet à l’affiche une deuxième distribution renouvelée pour cette mise en scène de Robert Carsen dévoilée à l'Opéra de Paris en 2014 et qui aura déjà animé six saisons différentes :

La Flûte enchantée de Mozart, dans la mise en scène de Robert Carsen, revient sur les planches de l’Opéra Bastille, avec Mauro Peter et Pretty Yende dans les premiers rôles, accompagnés de l’Orchestre et des Chœurs de l’Opéra de Paris, respectivement dirigés par Antonello Manacorda et Ching-Lien Wu.

Inaugurée sur cette même scène de l’Opéra Bastille en 2018, cette production signée Richard Jones du Parsifal de Richard Wagner marque les débuts du ténor Simon O’Neill à l’Opéra national de Paris​

La mise en scène signée William Kentridge (et co-signée Luc De Wit) du Wozzeck d'Alban Berg fait résonner terriblement à l'Opéra de Paris l'actualité guerrière qui se répète :

L'Isola disabitata, l'île déserte de Joseph Haydn est aussi maudite à l'Opéra de Dijon, mais ses interprètes fougueux habitent cette île déshabitée comme ils combattent la malédiction qui s'est abattue sur cette production :

L’Opéra de Dijon propose une nouvelle redécouverte : “L’Isola disabitata” (L’Île déserte) composée par Joseph Haydn en 1779. Le metteur en scène Luigi De Angelis, le chef Leonardo García Alarcón et des solistes lyriques vous invitent sur cette île fascinante dont l’embarquement à l’Auditorium aura lieu ces 27 et 28 novembre 2021 :

Nouveau Directeur Musical de l'Opéra de Paris, Gustavo Dudamel a conçu et dirige son ​Concert inaugural comme un manifeste esthétique, empli de promesses, acclamées par l'assistance du Palais Garnier devenue ce soir son public :

Simon Valastro conclut son parcours à l'Académie de l'Opéra de Paris en créant le spectacle "C'éra una volta" composé avec des scènes emblématiques de contes de fées lyriques : un "atelier" à l'Amphithéâtre qui n'a rien à envier aux spectacles des grandes salles.

Nouveau Directeur et nouveau logo pour l’Opéra de Dijon qui présente son projet et sa saison 2021/2022 :

L'opéra de chambre de Britten, "Le Viol de Lucrèce" est mis en scène au Théâtre des Bouffes-du-Nord par Jeanne Candel avec les artistes de l'Académie de l'Opéra de Paris sous la direction de Léo Warynski :

Pour sa première programmation en tant que Directeur de l'Opéra de Paris, Alexander Neef renverse les habitudes et propose au public une nouvelle voie et de nouvelles voix :

L'Opéra de Paris annonce le calendrier de ses spectacles reprogrammés afin d'accueillir à nouveau le public dès ce 15 décembre 2020 (jour du déconfinement) : des concerts, opéras et ballets dans le respect des consignes sanitaires (distanciations avec groupe de 6 au maximum et couvre-feu avec fin des spectacles avant 21h).

Une moitié des musiciens académiciens donnent à l'Amphithéâtre de Bastille un concert Beethoven parcourant une grande richesse mélodique différemment (in)adaptée aux jeunes artistes :

L’Opéra de Paris s’appuie notamment sur son Académie pour proposer une programmation alternative en cette période de travaux dans ses deux salles principales. Les jeunes artistes se produisent sur le proscenium bâti à Garnier, devant un public à jauge réduite.

Pour son concert d’ouverture de la saison, l’Académie de l’Opéra national de Paris chante Mozart :

La personnalité artistique et la maturité vocale des jeunes chanteurs à l'Académie de l'Opéra de Paris se révèlent sur la scène de Garnier dans un concert de gala mettant à l’honneur la diversité musicale.

Les jeunes artistes en résidence à l'Opéra Bastille, Ilanah Lobel-Torres, Liubov Medvedeva, Ramya Roy, Alexander York, Fernando Escalona et Tobias Westman chantent de fameux Lieder de Gustav Mahler et de Richard Strauss ainsi qu'un cantique de Benjamin Britten.

Pour leur concert inaugural de saison, les jeunes artistes académiciens en récital à l'Amphithéâtre Bastille démontrent leur potentiel : une grande richesse vocale et une sensibilité musicale déjà affirmée.

À l’Opéra de Malmö, Olivier Py célèbre le dernier « Jour des morts » dans une Traviata tournant autour de la Violetta de Rebecca Nelsen.