L'Opéra de Montpellier propose au Corum la Tosca de Puccini dans la vision engagée d’un metteur en scène audacieux, sans concessions, qui assume des postures parfois polémiques, tant au niveau du sens que des partis-pris scéniques

La Monnaie, opéra de Bruxelles, continue de rouvrir ses portes au public, avec une deuxième distribution (deux jours après la première et le retour devant le public), pour le chef-d'œuvre puccinien qui n'avait pas été joué à la maison-mère depuis plus de vingt ans : La Tosca.

Retour aux sources lyriques, aux fauteuils rouges et à la culture vivante pour La Monnaie de Bruxelles, avec le chef-d'œuvre Puccinien qu'est la Tosca :

Soirée composite à l’Opéra Berlioz (Le Corum) pour un Barbier de Séville étourdissant, sous la baguette de Magnus Fryklund et mis en scène par Rafael R. Villalobos, avec Paolo Bordogna en Figaro, Philippe Talbot en Almaviva, Adèle Charvet en Rosine, Gezim Myshketa en Bartolo et la prestation remarquée de Ray Chenez en Berta.

Après des siècles d’oubli, le festival donne une nouvelle chance à l’un des opéras les plus populaires de l’Italie des années 1660 à 1680, avec mise en scène fine et élégante, distribution jeune et investie, orchestre et chef spécialisés dans ce répertoire :