Réunissant pour l’occasion danseurs et chanteurs, Carmina Burana de Carl Orff ouvre avec éclat mais sobriété une saison 2024 placée sous la contrainte des restrictions budgétaires :

Jorge Telerman, Directeur Général du Teatro Colón, annonce enfin une saison lyrique 2024 qui questionne le(s) pouvoir(s), sur fond de crise économique majeure et de bouleversements politiques profonds en Argentine :

Cette production du Colón décentralisée au Teatro Coliseo de Buenos Aires, dans une mise en scène où la couleur verte est omniprésente, intègre des étudiants de son centre de formation dont l’enthousiasme printanier vole la vedette à des chanteurs plus expérimentés :

La saison lyrique 2022 du célèbre théâtre argentin s’ouvre sur ce classique de Puccini par la reprise de la mise en scène que Stefano Trespidi avait présentée in loco en 2018.

Le lancement de la saison 2022 s’accompagne de démissions au sein de la principale institution lyrique d’Amérique latine tandis que la venue d’Anna Netrebko en récital et pour Tosca pourrait être rendue incertaine par les conséquences de la guerre en Ukraine.

C’est avec beaucoup d’émotion et un plaisir communicatif que la soprano argentine propose, pour son retour au Colón à l’occasion d’une soirée Mozart, un florilège d’airs, en alternance avec trois ouvertures d’opéra et un rondo joués par l’orchestre permanent du célèbre Théâtre de Buenos Aires sous la férule de César Bustamante.

Six opéras, quatre ballets, 14 concerts pour le 75e anniversaire de la Orquesta Filarmónica de Buenos Aires, un festival Beethoven aux côtés de Martha Argerich fêtant ses 80 printemps, sept récitals d’interprètes internationaux, sept concerts de l’orchestre permanent, trois spectacles du chœur permanent, entre autres projets : lever de rideau !

La présentation de la programmation de l’année 2020 du Teatro Colón à la presse et aux professionnels est marquée par la reprise de classiques du répertoire, dont Wagner, ainsi que par la place accordée à la création contemporaine.

La Damnation de Faust de Berlioz voit sa représentation au Teatro Colón placée sous l’angle de la malédiction :

Près d’un millier d’enfants, petits princes et petites princesses accompagnés de leurs parents, acclament dans la grande salle du Teatro Colón pleine à craquer la création latino-américaine du Petit Prince, opéra-jeunesse de Rachel Portman sur un livret de Nicholas Wright d'après Saint-Exupéry, dans une mise en scène de Mariana Ciolfi.