L’Opéra de Tours présente un plus rare mais néanmoins captivant opéra de Verdi, “Luisa Miller”, mis en scène par Frédéric Roels : une occasion unique pour le public d’applaudir cette production et de soutenir les revendications des musiciens locaux.

L’Opéra de Tours présente à son tour -après l’Opéra Grand Avignon- le diptyque ravélien réunissant les deux seuls opéras du compositeur : L’Heure Espagnole & L’Enfant et les Sortilèges dans une mise en scène de Jean-Louis Grinda et sous la baguette de Robert Tuohy.

En ouverture de sa saison lyrique, l’Opéra de Tours propose une nouvelle production du Barbier de Séville de Rossini en partenariat avec l’Académie de La Scala de Milan, invitant ainsi une pépinière de jeunes artistes déjà plus qu’en herbe :

La version française de Lucia di Lammermoor de Donizetti est présentée à l’Opéra de Tours le temps de deux représentations dans le cadre d’une co-production avec l’Opéra de Québec. La mise en scène est confiée à Nicola Berloffa, Jodie Devos abordant le rôle-titre :

L'Opéra de Tours fonde sa "Maîtrise Populaire", chœur d'enfants de 8 à 11 ans, dans les échos et en résonances avec sa nouvelle chorale populaire gratuite et pour tous :

Co-produit avec l’Opéra de Lausanne où la production fut dévoilée en mai dernier avec déjà Laurent Campellone à la baguette, ce Werther de Jules Massenet s’appuie sur une mise en scène particulière de Vincent Boussard et de beaux costumes signés par Christian Lacroix.

L’Opéra de Tours et le Palazzetto Bru Zane offrent au Frédégonde de Guiraud une nouvelle jeunesse, peu suivie toutefois par le public malgré sa qualité.

Comme le veut la tradition, les deux ouvrages (de Pietro Mascagni et Ruggero Leoncavallo) sont présentés dans la même soirée, à l’Opéra de Massy, mais dans une démarche de fusion des deux entités assez audacieuse :

L’Opéra de Tours présente La Caravane du Caire, opéra-ballet de Grétry, dans une mise en scène très classique de Marshall Pynkoski et sous la direction de Stéphanie-Marie Degand.

Michel Plasson effectue à l’âge vénérable de 88 ans ses débuts au pupitre de l’Opéra de Tours pour une reprise de Thaïs, opéra de Jules Massenet dans la production monégasque signée par les soins de Jean-Louis Grinda :

L'Opéra de Tours et le Palazzetto Bru Zane réunissent en une soirée deux opéras-comiques exotiques créés à trois semaines d'écart dans la même salle, avec le même librettiste, par deux des plus emblématiques compositeurs lyriques français :

L'Opéra de Tours propose un Festival de réouverture avec notamment un Grand Gala Lyrique, en remplacement et avec les artistes engagés pour "La Caravane du Caire" de Grétry :

Après quelques mois de séparation avec son public, le Chœur de l’Opéra de Tours offre un programme musical fêtant le retour des concerts, ces bouffées de vie qui magnifient notre vivre-ensemble, dans un voyage à travers quelques belles pages de la musique française.

L’Opéra de Tours retrouvera le public dès ce 19 mai, et pour cet événement, l’institution innove en organisant un grand festival de réouverture avec près de 170 artistes programmés jusqu’en juillet prochain.

L'Opéra de Tours sauve pour une captation son Don Pasquale de Donizetti, la première production lyrique du nouveau Directeur de la maison, Laurent Campellone.

Face à la seconde vague de Coronavirus, les théâtres sont fermés au public mais ce reconfinement en France autorise le travail à se poursuivre. Tour d'horizon des activités maintenues dans les théâtres lyriques avec les spectacles proposés en ligne :

Cette coproduction du Don Quichotte de Jules Massenet fit les beaux soirs de l’Opéra de Saint-Etienne en début d’année. La reprise à Tours offre une distribution vocale totalement différente et d’une tenue remarquée.

Tout est musique dans la mise en scène signée Laurent Pelly (créée au TCE, puis passée à Marseille, Luxembourg, Bordeaux et ici Tours) pour Le Barbier de Séville composé par Rossini : les décors sont des partitions, les interprètes en sont les notes de musiques vivantes et vibrantes.

Cosi fan tutte de Mozart ouvre la saison lyrique du Grand Théâtre de Tours, tout en sons, émotions et sensibilités :

53 ans après son entrée au répertoire, Andrea Chénier d’Umberto Giordano clôture la saison à l’Opéra de Tours dans une nouvelle production portée par les voix de Renzo Zulian, Béatrice Uria-Monzon et Marco Caria.