Acte III : Les Troyens à Carthage
Deuxième partie : les Troyens à Carthage
Acte III
À Carthage, dans le palais de Didon, la cour chante la gloire de sa Reine (« De Carthage les cieux semblent bénir la fête ! »). Celle-ci se félicite de la gloire naissante de la nouvelle citée (« Nous avons vu finir sept ans à peine »). Elle confie à sa sœur, Anna, le bonheur qu’elle ressent malgré son refus d’aimer à nouveau, depuis la mort de son époux. Sa sœur lui prédit toutefois que cet état changera bientôt (« Les chants joyeux, l’aspect de cette noble fête »). Didon accède à la demande formulée par Ascagne et Panthée et reçoit les Troyens que la mer a jetés sur ses rives (« Errante sur les mers »). Le Ministre Narbal annonce alors que Carthage est attaquée par des troupes numides, alors que les armes manquent. Enée paraît, annonçant que les Troyens combattront aux côtés des Carthaginois : s’apprêtant à partir en bataille, il confie son fils Ascagne à la Reine Didon (finale, « J’ose à peine annoncer la terrible nouvelle !»).